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Le but de la mission, qui s’est déroulée du 29 novembre au 15 décembre, était d’évaluer les activités pour constater les effets du projet ; d’une part, l’association voulait obtenir les données relatives à l’utilisation des CBE par les ménages, et d’autre part, il s’agissait de s’intéresser à l’évolution des groupements de femmes qui utilisent les CBE « collectivité » pour développer une activité économique.
Les résultats en 2019 :
Au niveau des bénéficiaires du projet, plus de 3 170 personnes au total sont directement concernées par les réalisations de 2019.
Les CBE « standard » sont globalement bien intégrés dans les habitudes des ménages et répondent aux besoins. L’objectif est de développer la filière des CBE « collectivité » pour renforcer les activités génératrices de revenus des femmes notamment grâce à la collaboration avec les Association Villageoises d’Épargne et de Crédit (AVEC).
jeudi 6 février 2020 | Afrique > Bénin | 4 documents
Cette mission a une double vocation :
D’une part, dans le cadre du nouveau projet « Le séchage solaire, facteur de développement économique dans le département de l’Atacora au Bénin » le diagnostic déjà réalisé par nos partenaires locaux sera renforcé.
De plus, c’est l’occasion pour BISS d’être au plus près des bénéficiaires en rencontrant les femmes des groupements qui participeront aux activités du projet.
Ce projet est marqué par la nouveauté : nouvelles activités au travers du séchage solaire, nouveau séchoirs, nouveaux partenaires. Cette mission permettra d’ancrer des relations pérennes pour la mise en place des activités.
D’autre part, la mission permettra de suivre les activités liées à notre projet de diffusion de foyers améliorés auprès des ménages et des groupements de femmes.
Grâce à des rencontres et des enquêtes auprès des bénéficiaires, BISS pourra faire un état des lieux de l’utilisation des cuiseurs à bois économes (CBE), recenser les nouvelles demandes, améliorer le CBE existant et apprécier les résultats de ses activités.
Ce retour de la part des bénéficiaires est un élément primordial de BISS pour juger de la pertinence et de la pérennité des actions qu’elle mène.
mercredi 13 novembre 2019 | Afrique > Bénin | 3 documents
Depuis 2016, BISS a mis en œuvre avec son partenaire Tafarnout un projet d’accompagnement de coopératives pour le développement d’une activité de transformation de produits agro-alimentaires grâce au séchage solaire. Ce projet a permis l’accompagnement de 16 coopératives dans la vallée D’Ait Bouguemez dans le moyen Atlas au Maroc.
BISS et son partenaire ont ainsi développer un savoir- faire, des contacts et former des ressources sur cette thématique, ses compétences pouvant être réplicables dans d’autres régions du Maroc.
Tafarnout, diminuant ces activités pour des raisons internes, a mis BISS en relation avec Nabta, potentiel partenaire pour le déploiement d’un projet de séchage solaire dans la province de Zagora dans la commune de Mhamid el Ghilzane.
Agnès RIZZO, Directrice de BISS et Michel Perrin expert associé se sont rendu au Maroc afin de rencontrer ce nouveau partenaire et formaliser une stratégie de partenariat. La mission a permis de réaliser un diagnostic initial rapide de la zone et du contexte, ainsi qu’approfondir l’analyse de la faisabilité technique du projet afin de formuler des recommandations et précisions sur le plan d’action.
Le projet global vise à accompagner 3 coopératives de femmes pour le développement d’activité économiques de transformation du couscous, des dates et des herbes aromatiques par le séchage solaire. Une étude initiale a été réalisée par l’ANAPEC- Agence Nationale de Promotion de l’emploi et des compétences- sur l’opportunité de réaliser les activités de couscous et de valorisation des produits du palmiers. Le projet dispose d’un contexte partenarial très favorable, le projet a été impulsé par l’association Nabta Maroc, qui par son dynamisme et ses réseaux a réussi à mobiliser différentes partenaires (autorités locales, INDH, ODCO, ANAPEC…) permettant de faire évoluer le projet dans de très bonnes conditions. Le président de la commune est impliqué dans le comité de suivi, le gouverneur soutien le projet.
BISS assurera un rôle d’appui technique, organisationnel et financier qui se traduira par une prise en charge financière d’une partie du projet, des formations techniques sur le séchage, un appui à l’organisation générale du projet.
Les prochaines étapes du projet vont se centrer sur l’approfondissement de l’étude préalable et du plan d’affaires, la structuration des coopératives et l’organisation opérationnelle du centre pour l’activité de séchage.
mercredi 13 novembre 2019 | Afrique > Maroc | 5 documents
Suite à la demande de l’association de développement du village de Tizi N’Oucheg situé dans le Haut-Atlas marocain, au sud-est de Marrakech, des élèves du Lycée de Vaucanson ont installé, du 12 au 19 octobre 2019, un modèle de CBE dont ils ont contribué à l’amélioration dans chaque habitation.
Ce travail a débouché sur une belle action au Maroc qui ouvre d’autre perspectives, puisque l’association Vauc’en Sciences a déposé un dossier auprès de la région Centre pour un projet portant sur 400 CBE et des séchoirs.
mercredi 13 novembre 2019 | Afrique > Maroc
Dans le cadre du partenariat entre Tafarnout avec l’organisme SES basé à Bonn dépendant de la coopération allemande, un expert agronome expérimenté dans le domaine des séchoirs solaires a été sollicité et est intervenu auprès des femmes des coopératives afin d’améliorer leurs connaissances dans le domaine du séchage solaire en utilisant le modèle de BISS.
Un diagnostic sur les différents produits pouvant être séchés a été mené afin de permettre aux femmes de varier leurs productions. Cet accompagnement a renforcé les techniques de séchage des femmes sur de nouveaux produits et amélioré la qualité de leur production en vue de la commercialisation (en suivant des protocoles et en assurant un contrôle qualité). Des essais concluants ont été faits sur les tomates, les figues, les navets, les pommes, les pruneaux, les raisins et le couscous aux plantes aromatiques.
Aujourd’hui, l’ensemble des coopératives disposent du statut et peuvent produire et vendre leurs produits. Grâce à cette énergie, une nouvelle coopérative a rejoint le projet en recevant deux séchoirs. Elle est un exemple de réussite de la part de jeunes filles de la région qui n’ont pas pu terminer leurs études et qui ont l’opportunité d’intégrer une activité génératrice de revenus. Dans cette coopérative, la production est diversifiée et elle a réussi les tests de culture du Safran. Elle dispose d’un local adapté, d’un logo, d’étiquettes et d’emballages, et a intégré un circuit de commercialisation actif.
Elle est l’un des 5 membres du réseau « coopératives solidaires », qui a permis la création de valeur ajoutée issue du savoir-faire ancestrale des femmes des coopératives. Les produits du terroir proposés répondent aux normes de bonne qualité et sont certifiés par l’ONSSA. L’impulsion du réseau a renforcé la capacité de production pour répondre aux besoins du marché.
Pour chaque dirham dépensé dans l’achat de produits présentés dans le cadre des coopératives solidaires, 10 centimes sont versés dans un compte de développement social destiné aux femmes membres de coopératives rurales.
Ce fond contribue à l’amélioration des conditions de vie des habitants des villages de la région en matière de santé, d’éducation, de lutte contre le chômage, etc.
Ce projet est une réussite et un exemple de durabilité des actions menées dans le cadre d’un projet de coopération internationale.
mercredi 16 octobre 2019 | Afrique > Maroc | 4 documents
Le projet a démarré le 1 octobre 2019 par la réalisation d’un diagnostic initial sur place. Cette étape est cruciale, elle permettra d’identifier les besoins exprimés par les bénéficiaires et d’envisager les principales activités du projet.
Dans le Département de l’Atacora, au nord du Bénin, les productions agricoles sont abondantes mais souvent perdues ou non valorisées du fait du manque d’outils et de formations pour assurer la transformation. L’enclavement des villages et les difficultés d’acheminement des produits vers les marchés sont des freins conséquents à la valorisation monétaire des denrées.
Afin de valoriser les productions agricoles, les femmes se réunissent sous forme de groupements et mettent en place des systèmes d’épargne collectifs pour développer des activités économiques (étuvage de riz, production de beurre de karité, de farine de manioc, etc.).
Mais, le manque de moyens techniques et organisationnels freine le développement de leurs activités. C’est pourquoi, une micro-entreprise sociale et inclusive Kocali food, s’adjoint au projet afin de faciliter la diffusion et la commercialisation des produits séchés au niveau régional et national.
Rejeve
mercredi 16 octobre 2019 | Afrique > Bénin | 3 documents
Cette édition se déroulera le 1er octobre 2019. Au travers de cet événement, BISS ainsi que d’autres associations environnementales, auront l’opportunité de pitcher leur projet devant des mécènes intéressés par les thématiques.
BISS a décidé de présenter, dans la thématique Climat et Énergie, son nouveau projet « le séchage solaire, facteur de développement économique au Bénin ».
Le projet vise à soutenir deux groupements de femmes et une entreprise de vente de produits transformés, dans la mise en place d’activités de séchage solaire. Dans le Département de l’Atacora (Nord Bénin), les productions agricoles sont abondantes mais souvent perdues ou non valorisées du fait du manque d’outil et de formation pour assurer la transformation.
Le projet souhaite atteindre 2 objectifs :
• la création d’Activités Génératrices de Revenus (AGR) autour du séchage solaire afin de valoriser les produits locaux
• le renforcement des compétences et de l’indépendance financière des femmes transformatrices de produits agro-alimentaires.
Votez (et faites voter) pour notre projet au Bénin !
Les lauréats du prix recevront un financement immédiat entre 10K€ à 50k€.
En 2018, 400 000 euros ont été distribués à 27 projets. 40 projets avaient été présentés au total.
C’est l’occasion d’augmenter l’impact du projet sur le terrain en consolidant les activités et de renforcer la visibilité médiatique du nouveau projet de BISS au Bénin.
vendredi 13 septembre 2019 | Afrique > Bénin
Aujourd’hui, grâce à l’intervention d’une formatrice, 4 des 8 coopératives ont rattrapé intégralement leurs retard et les 4 autres sont sur la même voie et ne tarderont pas à le rattraper. Les partenariats sont toujours solides et la volonté des femmes des coopératives est toujours présente.
La fabrication de quatre nouveaux séchoirs a été lancée pour répondre aux besoins de production. Simultanément, les coopératives diversifient la production en effectuant des tests (bananes, abricot, raisins,etc.) avec une attention particulière pour le Safran appuyé par le Ministre de l’Agriculture.
Dans plusieurs coopératives, des travaux ont été entrepris sous la supervision du chef de projet local afin d’améliorer les conditions de travail et la productivité des coopératives comme daller les cours pour faciliter le déplacement des séchoirs solaires et construire un abri pour protéger les séchoirs des intempéries (coopérative Tilatine), installer un plan de travail et un espace de préparation adapté (coopérative Ait Moussa), faciliter l’accès des femmes et des clients au local (coopérative Ait Bouli).
L’intervention de la consultante Amina Majdi a permis de réaliser un travail considérable. Des sessions de formation sur les textes de loi qui régissent les coopératives et sur le rôle du comité élu dans la gestion administrative, financière et commerciale ont été mises en place. Les coopératives ont aujourd’hui les trois registres obligatoires cachetés par le greffe de tribunal et elles sont dans la légalité pour produire et vendre leurs produits.
De plus, la consultante a guidé ces coopératives dans la mise en place d’outils de gestion et dans l’élaboration de leur stratégie de commercialisation (création d’un logo et d’étiquettes de qualité).
Actuellement, elle poursuit son intervention auprès de ces coopératives en les accompagnant sur les aspects réglementaires et légaux et en les assistant pour l’obtention des autorisations ONSSA, organisme public marocain s’assurant de la conformité des produits vendus avec les normes nationales.
mardi 30 juillet 2019 | Afrique > Maroc | 4 documents
Pour rappel, la Phase 1 de ce projet avait permis à 16 coopératives féminines de développer des activités de séchage solaire, chacune ayant reçu 1 à 2 séchoirs solaires, des équipements pour la transformation des produits et une formation « technique de séchage et hygiène ».
Un premier bilan de l’action a permis de constater que toutes les coopératives équipées ne sont pas au même stade de développement : la seconde phase du projet consistera à accompagner les coopératives les moins développées sur le plan organisationnel, financier et commercial afin de permettre aux femmes de mettre en place une activité rémunératrice durable.
Une consultante interviendra afin de renforcer les compétences des femmes de 4 coopératives situées dans la Province d’Azilal et plus précisément dans la Vallée d’Ait Bouguemez, à Ait-Bouli, à Ait-Blal, et à Ait-Oumdis. Des formations spécifiques et modulables seront organisées en termes de structuration de la coopérative, de gestion de l’activité et de techniques de commercialisation. Ces formations déboucheront sur un accompagnement personnalisé, fonction des besoins de chaque structure.
Un expert agronome sera également mobilisé, en partenariat avec la coopération allemande, l’objectif étant d’offrir une assistance technique aux femmes qui devront maîtriser et standardiser leur production pour augmenter leurs ventes et à terme, leurs revenus.
L’ensemble des actions prévues dans le cadre de la Phase 2 du projet seront mises en œuvre à partir de juin 2019.
Séchage fruits et légumes à Ait Bouli
mercredi 29 mai 2019 | Afrique > Maroc
Le SIF, en lien avec l’UNICEF, a donc fait appel à BISS afin de mener une mission de diagnostic permettant d’envisager la mise en place d’un projet de diffusion de plus de 9 000 foyers améliorés dans les régions du Moyen Chari et du Logone oriental.
Cette mission d’expertise menée par BISS s’est déroulée en plusieurs étapes :
Une phase préparatoire impliquant une recherche bibliographique et la conception d’outils de collecte de données (grille d’enquêtes notamment)
Une phase terrain permettant de mieux comprendre le contexte local, de rencontrer les parties prenantes et de collecter des données
Une phase de traitement et d’analyse aboutissant à la formulation de recommandations.
Patrick Fournier, bénévole expert de BISS, s’est particulièrement investi dans cette mission et a assuré la phase terrain qui a eu lieu du 14 au 23 décembre 2018. Il a été appuyé au siège par Agnès Rizzo (Directrice de BISS) et Marjorie Launay (Chargée de mission Programmes Internationaux).
Les principaux objectifs de la mission étaient les suivants :
Identifier des comportements et attentes de la population locale en matière de cuisson
Identifier des potentialités locales en termes de production, commercialisation et diffusion de foyers améliorés
Définir une stratégie de déploiement des foyers améliorés
Concevoir un module de formation à destination des équipes du SIF
Ce diagnostic initial aura permis de poser les premières bases d’un projet ambitieux s’adressant à une population (hôte et réfugiée) démunie face aux nombreuses crises que connaît le pays et qui ne peut accéder qu’au bois pour cuisiner. La fabrication et l’utilisation efficace de foyers améliorés, associées à des mesures complémentaires de protection de l’environnement, permettront de prévenir une crise environnementale majeure.
L’ensemble des résultats et conclusions de l’étude ont été partagées avec le SIF et restituées sous la forme d’un rapport final en mars 2019.
BISS propose son accompagnement, son expertise et des formations sur l’économie d’énergie de cuisson, téléchargez notre offre d’accompagnement et d’expertise.
jeudi 11 avril 2019 | Afrique > Tchad | 3 documents
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23 948 équipements écologiques diffusés bénéficient à plus de 120 000 personnes.
16 697 équipements écologiques bénéficient à près de 100 000 personnes.
5 238 outils de cuisson écologiques diffusés auprès des familles françaises depuis 2002
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