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Les femmes au centre du développement au Maroc
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Depuis 2016, BISS a mis en œuvre avec son partenaire Tafarnout un projet d’accompagnement de coopératives pour le développement d’une activité de transformation de produits agro-alimentaires grâce au séchage solaire. Ce projet a permis l’accompagnement de 16 coopératives dans la vallée D’Ait Bouguemez dans le moyen Atlas au Maroc.
BISS et son partenaire ont ainsi développer un savoir- faire, des contacts et former des ressources sur cette thématique, ses compétences pouvant être réplicables dans d’autres régions du Maroc.
Tafarnout, diminuant ces activités pour des raisons internes, a mis BISS en relation avec Nabta, potentiel partenaire pour le déploiement d’un projet de séchage solaire dans la province de Zagora dans la commune de Mhamid el Ghilzane.
Agnès RIZZO, Directrice de BISS et Michel Perrin expert associé se sont rendu au Maroc afin de rencontrer ce nouveau partenaire et formaliser une stratégie de partenariat. La mission a permis de réaliser un diagnostic initial rapide de la zone et du contexte, ainsi qu’approfondir l’analyse de la faisabilité technique du projet afin de formuler des recommandations et précisions sur le plan d’action.
Le projet global vise à accompagner 3 coopératives de femmes pour le développement d’activité économiques de transformation du couscous, des dates et des herbes aromatiques par le séchage solaire. Une étude initiale a été réalisée par l’ANAPEC- Agence Nationale de Promotion de l’emploi et des compétences- sur l’opportunité de réaliser les activités de couscous et de valorisation des produits du palmiers. Le projet dispose d’un contexte partenarial très favorable, le projet a été impulsé par l’association Nabta Maroc, qui par son dynamisme et ses réseaux a réussi à mobiliser différentes partenaires (autorités locales, INDH, ODCO, ANAPEC…) permettant de faire évoluer le projet dans de très bonnes conditions. Le président de la commune est impliqué dans le comité de suivi, le gouverneur soutien le projet.
BISS assurera un rôle d’appui technique, organisationnel et financier qui se traduira par une prise en charge financière d’une partie du projet, des formations techniques sur le séchage, un appui à l’organisation générale du projet.
Les prochaines étapes du projet vont se centrer sur l’approfondissement de l’étude préalable et du plan d’affaires, la structuration des coopératives et l’organisation opérationnelle du centre pour l’activité de séchage.
mercredi 13 novembre 2019 | Afrique > Maroc | 5 documents
Suite à la demande de l’association de développement du village deTizi N’Oucheg situé dans le Haut-Atlas marocain, au sud-est de Marrakech, ont installé, du 12 au 19 octobre 2019, un modèle de CBE dont ils ont contribué à l’amélioration dans chaque habitation.
Ce travail a débouché sur une belle action au Maroc qui ouvre d’autre perspectives, puisque l’association Vauc’en Sciences a déposé un dossier auprès de la région Centre pour un projet portant sur 400 CBE et des séchoirs.
mercredi 13 novembre 2019 | Afrique > Maroc
Dans le cadre du partenariat entre Tafarnout avec l’organisme SES basé à Bonn dépendant de la coopération allemande, un expert agronome expérimenté dans le domaine des séchoirs solaires a été sollicité et est intervenu auprès des femmes des coopératives afin d’améliorer leurs connaissances dans le domaine du séchage solaire en utilisant le modèle de BISS.
Un diagnostic sur les différents produits pouvant être séchés a été mené afin de permettre aux femmes de varier leurs productions. Cet accompagnement a renforcé les techniques de séchage des femmes sur de nouveaux produits et amélioré la qualité de leur production en vue de la commercialisation (en suivant des protocoles et en assurant un contrôle qualité). Des essais concluants ont été faits sur les tomates, les figues, les navets, les pommes, les pruneaux, les raisins et le couscous aux plantes aromatiques.
Aujourd’hui, l’ensemble des coopératives disposent du statut et peuvent produire et vendre leurs produits. Grâce à cette énergie, une nouvelle coopérative a rejoint le projet en recevant deux séchoirs. Elle est un exemple de réussite de la part de jeunes filles de la région qui n’ont pas pu terminer leurs études et qui ont l’opportunité d’intégrer une activité génératrice de revenus. Dans cette coopérative, la production est diversifiée et elle a réussi les tests de culture du Safran. Elle dispose d’un local adapté, d’un logo, d’étiquettes et d’emballages, et a intégré un circuit de commercialisation actif.
Elle est l’un des 5 membres du réseau « coopératives solidaires », qui a permis la création de valeur ajoutée issue du savoir-faire ancestrale des femmes des coopératives. Les produits du terroir proposés répondent aux normes de bonne qualité et sont certifiés par l’ONSSA. L’impulsion du réseau a renforcé la capacité de production pour répondre aux besoins du marché.
Pour chaque dirham dépensé dans l’achat de produits présentés dans le cadre des coopératives solidaires, 10 centimes sont versés dans un compte de développement social destiné aux femmes membres de coopératives rurales.
Ce fond contribue à l’amélioration des conditions de vie des habitants des villages de la région en matière de santé, d’éducation, de lutte contre le chômage, etc.
Ce projet est une réussite et un exemple de durabilité des actions menées dans le cadre d’un projet de coopération internationale.
mercredi 16 octobre 2019 | Afrique > Maroc | 4 documents
Aujourd’hui, grâce à l’intervention d’une formatrice, 4 des 8 coopératives ont rattrapé intégralement leurs retard et les 4 autres sont sur la même voie et ne tarderont pas à le rattraper. Les partenariats sont toujours solides et la volonté des femmes des coopératives est toujours présente.
La fabrication de quatre nouveaux séchoirs a été lancée pour répondre aux besoins de production. Simultanément, les coopératives diversifient la production en effectuant des tests (bananes, abricot, raisins,etc.) avec une attention particulière pour le Safran appuyé par le Ministre de l’Agriculture.
Dans plusieurs coopératives, des travaux ont été entrepris sous la supervision du chef de projet local afin d’améliorer les conditions de travail et la productivité des coopératives comme daller les cours pour faciliter le déplacement des séchoirs solaires et construire un abri pour protéger les séchoirs des intempéries (coopérative Tilatine), installer un plan de travail et un espace de préparation adapté (coopérative Ait Moussa), faciliter l’accès des femmes et des clients au local (coopérative Ait Bouli).
L’intervention de la consultante Amina Majdi a permis de réaliser un travail considérable. Des sessions de formation sur les textes de loi qui régissent les coopératives et sur le rôle du comité élu dans la gestion administrative, financière et commerciale ont été mises en place. Les coopératives ont aujourd’hui les trois registres obligatoires cachetés par le greffe de tribunal et elles sont dans la légalité pour produire et vendre leurs produits.
De plus, la consultante a guidé ces coopératives dans la mise en place d’outils de gestion et dans l’élaboration de leur stratégie de commercialisation (création d’un logo et d’étiquettes de qualité).
Actuellement, elle poursuit son intervention auprès de ces coopératives en les accompagnant sur les aspects réglementaires et légaux et en les assistant pour l’obtention des autorisations ONSSA, organisme public marocain s’assurant de la conformité des produits vendus avec les normes nationales.
mardi 30 juillet 2019 | Afrique > Maroc | 4 documents
Pour rappel, la Phase 1 de ce projet avait permis à 16 coopératives féminines de développer des activités de séchage solaire, chacune ayant reçu 1 à 2 séchoirs solaires, des équipements pour la transformation des produits et une formation « technique de séchage et hygiène ».
Un premier bilan de l’action a permis de constater que toutes les coopératives équipées ne sont pas au même stade de développement : la seconde phase du projet consistera à accompagner les coopératives les moins développées sur le plan organisationnel, financier et commercial afin de permettre aux femmes de mettre en place une activité rémunératrice durable.
Une consultante interviendra afin de renforcer les compétences des femmes de 4 coopératives situées dans la Province d’Azilal et plus précisément dans la Vallée d’Ait Bouguemez, à Ait-Bouli, à Ait-Blal, et à Ait-Oumdis. Des formations spécifiques et modulables seront organisées en termes de structuration de la coopérative, de gestion de l’activité et de techniques de commercialisation. Ces formations déboucheront sur un accompagnement personnalisé, fonction des besoins de chaque structure.
Un expert agronome sera également mobilisé, en partenariat avec la coopération allemande, l’objectif étant d’offrir une assistance technique aux femmes qui devront maîtriser et standardiser leur production pour augmenter leurs ventes et à terme, leurs revenus.
L’ensemble des actions prévues dans le cadre de la Phase 2 du projet seront mises en œuvre à partir de juin 2019.
Séchage fruits et légumes à Ait Bouli
mercredi 29 mai 2019 | Afrique > Maroc
Ce projet a permis l’accompagnement de 16 associations et coopératives féminines dans le développement d’activités de transformation de produits alimentaires grâce au séchage solaire. Chaque structure a reçu des séchoirs solaires, des équipements et des formations techniques. Le séchage solaire permet aux coopératives d’être plus productives (gain de temps), de fabriquer des produits de qualité et de diversifier leurs productions. Les femmes bénéficient ainsi d’un complément de revenus, l’objectif étant d’améliorer leurs conditions de vie et de favoriser leur autonomie.
Une mission a été réalisée par Agnès Rizzo et Michel Perrin, afin de définir les modalités de lancement d’une seconde phase qui portera essentiellement sur 3 volets :
1) Accompagner les coopératives et associations ciblées dans l’ensemble des étapes du processus de commercialisation des produits séchés afin de permettre aux femmes de mettre en place une activité rémunératrice durable.
2) Structurer un réseau de coopératives « femmes entrepreneuses et séchage solaire » comprenant les 16 structures équipées de séchoirs solaires.
3) Apporter des formations techniques sur les pratiques de séchage.
mercredi 19 décembre 2018 | Afrique > Maroc
« Cette mission, dont l’objectif était d’effectuer une mesure des impacts du projet et de définir les perspectives de développement, a été très riche d’apprentissage et de rencontres. Au côté de BISS, Tafarnout était aussi mobilisé par le biais du chef de projet Tarik, des 3 animatrices locales du projet et de son Président.
L’évaluation du projet portait notamment sur 2 aspects : la diffusion de 713 CBE auprès de familles vivant dans des villages isolés et l’accompagnement de 16 coopératives féminines dans la mise en place d’activités de séchage solaire. Nous avons également dédié une partie de la mission aux femmes ayant suivi les cours d’alphabétisation mis en place ces dernières années.
Pour le volet CBE, nous avons eu l’occasion de visiter une trentaine de familles utilisant les CBE dans 3 villages de montagne, situées dans les communes de Ait Blal et Ait Bou Ouli. Les femmes qui nous ont accueilli chez elles nous ont fait découvrir leurs habitudes de vie et surtout de cuisine en répondant à questionnaire conçu pour savoir comment elles utilisent le CBE et ce qui a changé pour elles. L’outil est utilisé tous les jours que ce soit pour cuisiner, chauffer de l’eau, chauffer la maison ou teindre de la laine. 95% des femmes interrogées affirment avoir réduit de manière considérable leur consommation de bois. Les femmes, qui marchent jusqu’à 3 ou 4 heures pour trouver du bois, ont divisé par 2 leur fréquence de collecte grâce au CBE. Elles gagnent du temps et peuvent se consacrer au travail des champs, au tissage de tapis berbère ou aux activités d’une coopérative. De cette façon, elles génèrent quelques revenus supplémentaires. Les femmes observent aussi une diminution de leur dépenses en combustibles (gaz), une réduction des fumées inhalées et un risque de brûlure plus faible autour du CBE. Les impacts du projet sont conséquents au niveau environnemental, économique et social.
En parallèle, nous avons également rencontré 5 groupes de femmes ayant suivi les cours d’alphabétisation dans cette zone et nos discussions m’ont fait prendre conscience de l’impact de ces séances sur la vie des femmes au quotidien. Elles savent à présent lire, écrire, compter mais surtout, elles peuvent suivre la scolarité de leurs enfants, faire des achats seules, comprendre des documents de prévention. Dans le cadre de leur travail à la coopérative, de nouvelles possibilités s’ouvrent à elles : en apprenant à mesurer des longueurs, gérer les stocks, peser des quantités, faire des factures, utiliser un téléphone, etc. elles prennent confiance en elles, deviennent plus autonomes et gagnent ainsi le respect de leur entourage.
D’autre part, le volet séchage solaire a permis la sélection de 16 coopératives aux profils variés et réparties sur plusieurs provinces, celles d’Azilal, Beni Mellal, Rehamna, Al Haouz et El Kelaâ des Sraghna. Notre mission nous a donc conduit dans différentes zones du Maroc pour rencontrer les femmes des coopératives, dirigeantes et adhérentes. Les femmes sont ravies de cet outil qui fonctionne avec une énergie propre et gratuite et simple d’utilisation. Elles ont constaté d’importants changements entre le séchage traditionnel et solaire : le temps de séchage est plus court, les pertes de fruits/légumes sont moindres, la qualité des produits est meilleure (pas de brûlure, pas de poussière, etc). Les productions se diversifient : pomme, tomate, navet, couscous mais aussi noix, amandes, plantes, épices, etc. Les femmes commencent à augmenter leurs revenus mais ce n’est pas sans rencontrer de difficultés : les réseaux de vente sont difficiles à mettre en place, surtout sans l’obtention de certaines autorisations, sans oublier que les hommes sont parfois réticents à l’implication des femmes dans les coopératives.
Nous envisageons donc de poursuivre notre accompagnement des coopératives en se concentrant sur la commercialisation des produits et le renforcement organisationnel. Il s’agira à présent de standardiser les productions, de renforcer les capacités des femmes en terme organisationnel, financier et commercial. La deuxième phase du projet devrait permettre d’assurer la durabilité des activités de séchage mises en place.
Notre mission de suivi-évaluation s’est achevée sur l’organisation d’un focus group réunissant les présidentes de coopératives afin d’amorcer la création d’un réseau « femmes entrepreneuses et séchage solaire », l’objectif étant de permettre un partage d’expériences, la mise en place d’un réseau de vente commun et la création d’une marque ou d’un label valorisant l’utilisation de l’énergie solaire.
Les prochaines étapes du projet sont ambitieuses et à la hauteur de la motivation des femmes, ce qui laisse entrevoir une suite de projet dynamique et de nouvelles collaborations. »
Marjorie Launay
Volontaire en Service Civique
Appui au développement et au suivi des programmes internationaux
lundi 10 septembre 2018 | Afrique > Maroc | 9 documents
Depuis 2013, BISS et Tafarnout s’associent pour la diffusion de cuiseurs à bois économes (CBE) pour les ménages et de poêles à bois pour le chauffage dans les écoles des villages ruraux de la Province d’Azilal au Maroc. Des cours d’alphabétisation sont organisés pour les femmes membres de coopératives. Ces femmes, libérées d’une corvée de bois moins pesante, peuvent envisager de développer de nouvelles activités génératrices de revenus : c’est le second volet du projet, qui vise à développer une composante autour du séchage solaire pour les coopératives transformatrices de produits agro-alimentaires.
L’été 2018 marque la fin de la première année du projet financé par la Fondation RAJA, la Ville de Nantes et le Conseil Régional. La mission de suivi-évaluation permettra de réaliser un premier bilan des activités menées, de déterminer si les objectifs fixés ont été atteints et de mesurer les impacts du projet. Elle portera sur les différents volets de l’action : la diffusion de CBE et des poêles à bois, les sessions d’alphabétisation et l’accompagnement des coopératives dans la mise en place d’activités de séchage solaire.
Le chef de projet, les animatrices locales ainsi que le Président de Tafarnout se joindront à l’équipe de BISS pour réaliser ce travail qui s’appuiera notamment sur des enquêtes de terrain et des réunions de travail avec les partenaires du projet.
vendredi 6 juillet 2018 | Afrique > Maroc | 3 documents
L’objectif de ce projet d’étude était de comprendre comment les paramètres de séchage impactaient la qualité nutritionnelle des produits finis. Il s’agissait donc d’effectuer des tests de séchage indirect dans des conditions similaires à un séchage solaire.
Le projet s’est composé de 2 parties :
1. un travail de recherche bibliographie pour s’imprégner du sujet et mettre en place un protocole de test
2. 4 séances de travaux pratiques pour réaliser des tests et formuler des conclusions sur les paramètres optimales de séchage et sur la qualité des produits séchés.
Les étudiants ont eu à leur disposition 2 séchoirs hybrides prêtés par BISS. Ils se sont concentrés sur le navet et surtout la pomme dont la production annuelle atteint 150.000 tonnes dans la Vallée d’Ait Bouguemez, lieu de déploiement du projet de séchage solaire au Maroc.
A chaque séance de travaux pratiques, les quatre étudiants ont fait varier les paramètres de séchage et ont réalisé différentes mesures : suivi de la masse, de la température, de la teneur en eau, de la texture, de la conservation, etc. Pour compléter ces tests, ils ont également fait appel au laboratoire Upsciences, pour juger de la teneur en vitamine C des produits séchés.
Les principales conclusions de cette étude ont été les suivantes :
la consommation des produits séchés est sans risque pour le consommateur
après 1 mois de conservation, les produits sont sains et sûrs, quelque soit le mode de conservation
les paramètres de séchage ne modifie pas le goût ni la couleur, seulement la texture du produit
une température de séchage basse permet de conserver une partie importante de la vitamine C présente dans la pomme
la durée optimale de séchage est de 48 heures
les tranches de pommes fines sont à privilégier pour un séchage rapide et une texture croquante, plus appréciée des consommateurs
Cette expérience a été riche d’enseignements pour les étudiants qui ont beaucoup apprécié le travail en partenariat avec l’association du fait de l’autonomie dont il disposait et du caractère concret de leurs recherches. Nous les remercions tous les 4 de leur investissement et leur souhaitons une excellente continuation. Nous espérons renouveler dans l’avenir ce type de partenariat étudiant qui constitue une véritable valeur ajoutée pour l’association et qui permet aux jeunes d’être impliqués dans des projets de solidarité internationale.
Retour des étudiants d’ONIRIS dans les locaux de BISS, en présence des salariés et bénévoles investis dans le séchage solaire
vendredi 1er juin 2018 | Afrique > Maroc
Dans cette région aux productions variées, des pertes importantes de récoltes sont constatées, faute de moyens de conservation ou de transformation adéquats, le projet prévoyait l’accompagnement de deux coopératives de la Vallée d’Ait Bouguemez dans la création d’activités de transformation par le séchage solaire.
Afin de renforcer leur autonomie et à améliorer leurs conditions de vie, le projet a permis aux femmes des coopératives de se doter de séchoirs solaires (type coquillage), d’être appuyées dans l’aménagement d’un lieu de production adaptée, ainsi que de participer aux formations nécessaires pour transformer, conserver et commercialiser leurs produits séchés (fruits, légumes, herbes, couscous) .
Au total, 7 coopératives sont aujourd’hui équipées et 6 autres ont été identifiées pour poursuivre le déploiement du projet.
Les formations techniques, initialement réalisées par BISS, sont désormais assurées par les animatrices locales ayant renforcé leurs compétences dans le cadre du projet.
Une équipe de BISS, mènera une mission d’évaluation du 05 au 13 juillet pour apprécier les impacts et approfondir les axes de déploiement du projet.
Formation séchage à la coopérative Taitmatine
vendredi 1er juin 2018 | Afrique > Maroc | 5 documents
3
23 948 équipements écologiques diffusés bénéficient à plus de 120 000 personnes.
16 697 équipements écologiques bénéficient à près de 100 000 personnes.
5 238 outils de cuisson écologiques diffusés auprès des familles françaises depuis 2002
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