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Diffusion de cuiseurs solaires aux familles défavorisées, et à l’amélioration des revenus des femmes en favorisant leur développement économique.
Renforcer l’autonomie énergétique de cuisson des familles les plus vulnérables.
Améliorer les revenus des femmes en favorisant leur développement économique. .
Bénéficiaires : 23 femmes et 1 hommes ayant créé leurs AGRs, 104 familles dotées et 500 bénéficiaires indirects
Partenaire local : Association Inti Illimani
Articles 21-30 sur 52
Si la fonction première du cuiseur solaire est de cuire les aliments, il permet aussi de les sécher. Ces aliments séchés pourront alors être vendus par les femmes bénéficiaires.
Diffusion de cuiseurs solaires
Après avoir construit elles-mêmes leur cuiseur solaire, les femmes peuvent réaliser le séchage des fruits, légumes et plantes, à leur domicile, ce qui leur permet de poursuivre leurs nombreuses activités domestiques (tâches ménagères, s’occuper des enfants, etc).
Formations au séchage solaire
Dans ce projet, il y a tout un cycle de formation pour accompagner ces femmes aux techniques du séchage des aliments et à la création de leurs activités.
La première partie de cette formation dure 10 heures, sur 2 jours. Il s’agit d’un stage 100% pratique ou l’animatrice explique et montre toutes les techniques ainsi que les bonnes pratiques du séchage. Pendant l’atelier, les femmes appliquent ces techniques.
Après la formation, elles continuent à appliquer chez elles les différentes techniques pour le séchage des fruits, légumes, herbes, fleurs et tous les différents produits dont elles disposent. Elles choisissent les produits avec lesquels elles souhaitent travailler pour la commercialisation. Dans certains cas, ces femmes ont de la famille ayant des exploitations agricoles ou des arbres fruitiers. Pendant cette phase de pratique à domicile, l’animatrice continue de suivre ses activités, conseille et fait part de ses commentaires.
La suite du projet
jeudi 2 mars 2017 | Andes > Bolivie | 14 documents
Pendant 5 semaines, Marie, Ophélie, Corentin et Jonathan ont réalisé un prototype de séchoir solaire auprès de notre partenaire bolivien Inti Illimani. Puis, ils l’ont testé afin d’évaluer les améliorations possibles grâce au système d’hybridation au gaz.
L’équipe SECASOL (nom de leur projet) vous présente leur mission.
mercredi 7 septembre 2016 | Andes > Bolivie
"L’objectif principal de notre mission est d’améliorer le modèle de séchoir solaire diffusé actuellement dans les Andes en y ajoutant un système hybride bois permettant l’utilisation des séchoirs en l’absence de soleil et pendant la saison des pluies. La conservation des aliments constitue un enjeu de taille dans la mesure où l’humidité peut parfois détruire une grande partie des récoltes.
Afin de construire un prototype viable et d’optimiser notre temps sur place, nous avons passé plusieurs après-midi dans l’atelier de Jean-Yves. De part ses connaissances et sa capacité à trouver des solutions innovantes, Jean-Yves nous a été d’une grande aide afin d’améliorer notre prototype.
Nous tenons à remercier tous les bénévoles de BISS pour leur accompagnement au sein de ce projet. En effet, grâce à David et Jean-Yves, nous avons pu prendre contact avec Omar, membre d’Intillapu au Chili et Rocío qui accompagne l’équipe d’Inti Illimani en Bolivie. Ils nous ont été d’une grande aide pour gérer toutes les questions logistiques. Nous remercions également Georges d’avoir pris le temps de nous expliquer son séchoir solaire hybride solaire/gaz.
Nous avons pris la décision d’effectuer notre mission en Bolivie tout en restant en contact avec Inti Illapu au Chili pour permettre un transfert d’expériences. Sur place, il s’agira d’échanger avec la population locale, de travailler sur le volet technique avec Inti Illimani, et de définir une solution optimisant le coût, la facilité d’utilisation, de fabrication, l’utilisation des matériaux locaux et la durabilité.
Les premières installations de la nouvelle génération de séchoirs solaires hybrides seront alors possibles. A terme, notre démarche doit permettre aux populations locales d’être autonomes vis à vis de l’utilisation de ces séchoirs."
En savoir plus sur le précédent projet mené dans le cadre de la collaboration ISF/BISS
jeudi 26 mai 2016 | Andes > Bolivie | 2 documents
Depuis 2013, notre partenaire Inti Ilimani multiplie les expérimentations de séchage solaire. L’une d’entre elles a eu lieu dans le Centre Culturel Populaire (CCP) en août 2013, pour équiper les femmes en cuiseur solaire et les former à la technique du séchage.
L’action du CCP (1) se déroule dans les quartiers périphériques de La Paz. Son objectif est d’améliorer les conditions de vie des femmes de ces quartiers très défavorisées. Les femmes fréquentant ce centre sont majoritairement mères de famille avec des niveaux d’éducation basiques. Leur pouvoir de décision au sein du ménage est limité et leur possibilité d’exercer un travail est restreinte. De plus, leurs faibles revenus ne leur permettent pas de se constituer une épargne pour investir dans des outils ou des équipements.
L’objectif principal de ce projet est que les femmes bénéficiaires puissent créer des activités à l’aide des cuiseurs et séchoirs solaires, tout en poursuivant les nombreuses tâches au sein du foyer. Fin 2015, l’Ambassade du Japon a validé son financement pour ce projet. BISS y participe financièrement et techniquement.
Les partenaires du projet réunis lors de la signature de la convention
Les actions porteront sur 2 volets : la diffusion d’équipement et la formation.
Volet équipement
Diffusion de 200 cuiseurs solaires auprès des femmes de la périphérie de La Paz.
Diffusion de 5 séchoirs solaires dans le centre de groupement de femmes (CCP)
Création d’une unité de production pour la transformation/conditionnement des fruits séchés.
Volet formation
Formation au séchage des fruits via le cuiseur solaire
Formation à la création d’activités génératrices de revenus et à la gestion d’entreprise.
Ce projet vient de démarrer avec un premier stage de construction de cuiseurs solaires du 26 au 29 avril 2016. Sur une période d’un an, 200 femmes du centre seront équipées d’un cuiseur solaire, formées à l’activité de séchage solaire et à la gestion d’entreprise. Le centre sera équipé d’une unité de production, avec des machines permettant de peler les fruits, les couper, les emballer, etc.
Le premier groupe de femmes bénéficiaires, à la fin du stage de construction de cuiseurs solaires
(1) Le Centre Culturel Populaire (CCP) accueille des groupes de femmes des zones périphériques de La Paz. Sa mission est de renforcer les capacités de ces femmes, par l’accès à l’éducation, à une alimentation saine, à la création d’activités génératrices de revenus,... Ce centre accueille 1 500 femmes des quartiers les plus défavorisés de La Paz.
mercredi 4 mai 2016 | Andes > Bolivie | 6 documents
Los Yungas est une vallée forestière d’Amérique du Sud, située entre 500 et 2 300 m au-dessus du niveau de la mer, qui s’étend entre l’est des montagnes andines dans le Pérou, la Bolivie et l’Argentine. C’est une zone de transition entre les hautes terres andines et les forêts de l’Est, pluvieuse, humide et tiède. Ici, il y a une forte tradition de cuisson au feu de bois. Entre contraintes de gaz peu accessible et bois mouillé en période de pluies, le cuiseur solaire est d’une grande utilité pour les familles.
Les 24 familles de la communauté de Chahuara qui ont participé au stage de construction de cuiseurs solaires en 2014 témoignent dans cette vidéo en espagnol. Vous y retrouverez également plusieurs membres de l’équipe d’Inti Illimani.
vendredi 4 mars 2016 | Andes > Bolivie
La radiation solaire en Bolivie est une des plus
élevée au monde.
Le niveau moyen de radiation solaire est très élevé dans une grande partie du territoire. A La Paz, Oruro, Chuquisaca et Tarija, on peut mesurer de 5,1 à 6,3
KWh/m2, et de 5,1 à 8,5 kWh/m2 à Potosi.
La technologie est de plus en plus accessible.
L’énergie hydroélectrique est beaucoup plus chère si l’on tient compte des coûts environnementaux car elle implique de construire une grande infrastructure qui inondera toute une région pour créer une retenue d’eau.
L’énergie solaire peut se développer au niveau d’une commune et a un impact
environnemental pratiquement nul. En revanche, l’énergie solaire développée à grande échelle par l’installation de panneaux photovoltaïques a un coût environnemental : on occupe des terres, on déplace des communautés et des
villages et on affecte la biodiversité de la région.
C’est une alternative contre le changement climatique.
Bonne nouvelle : l’énergie solaire ne génère pas d’émissions de GES. Elle permet de remplacer les technologies polluantes et les combustibles fossiles.
En Bolivie, la biomasse (entre autres, bois et bouses) est la principale source énergétique de nombreuses communautés rurales reculées. En la remplaçant par l’énergie solaire, on réduira les émissions de CO2. Un cuiseur solaire permet d’éviter jusqu’à 25 tonnes de CO2 en 10 ans.
Bien développée elle peut générer des ressources économiques.
L’utilisation de l’énergie solaire suppose la décentralisation du pouvoir énergétique ; sa mise en oeuvre transforme les utilisateurs en producteurs
et distributeurs de leur propre énergie. Les énergies alternatives apportent une indépendance économique pour les populations éloignées qui n’ont plus à se préoccuper de câblage ou de coupures dans l’approvisionnement. Un espace ensoleillé ou avec de forts vents peut fournir toute l’énergie qui leur manque et dont elles ont besoin.
C’est une source d’énergie illimitée.
Toutes les autres sources ont un caractère relativement limité, comme les
combustibles fossiles qui tôt ou tard vont se tarir. Même l’énergie hydraulique, puisque si le fleuve s’assèche, l’usine cessera de fonctionner. L’atout majeur, c’est que la radiation solaire est gratuite. Tandis que le gaz, le charbon, le pétrole ont toujours un prix. En outre, l’énergie solaire n’est pas sujette aux prix du marché. Ainsi, l’économie du pays restera stable.
Fruits séchés dans le séchoir solaire, par Inti Illimani
Propos recueillis par Margarita Palacio, journaliste bolivienne (Agencia de Noticias FIDES).
jeudi 24 décembre 2015 | Andes > Bolivie
Les attractions touristiques accueillent dans le sud-ouest bolivien, plus de 185 000 visiteurs par an. Pour satisfaire les services de base attendus par les clients (eau chaude, éclairage, repas chauds), hôtels et restaurants doivent recourir massivement à la biomasse dans cette région gorgée de soleil !
Au programme de cet foire-expo :
Rocio Maldonado, représentante de BISS dans les Andes dresse un bilan de cette manifestation : "C’est la première fois qu’il y a eu un espace dédié aux technologies solaires à Uyuni. Il a connu une participation très importante de la part de la population d’Uyuni et des villages voisins. Du fait que des stages ont été organisés dans cette région par le passé, les gens connaissaient déjà les bienfaits des cuiseurs solaires.
Plusieurs points positifs ressortent pour Inti Illimani :
la vente de 4 cuiseurs solaires grand modèle dont un à un hôtel d’Uyuni et 2 cuiseurs solaires pour un usage domestique. Les gens qui ont acheté ces cuiseurs sont des amis ou de la famille d’anciens bénéficiaires de cuiseurs solaires. Ils ont compris l’intérêt de cette technologie et sont prêts à payer le prix total du cuiseur, sans aucune subvention.
l’espace était surtout destiné aux établissements touristiques plus éloignés de la ville d’Uyuni. Mais leur participation s’est avéré assez faible du fait de l’éloignement géographique (6 - 8 heures en voiture).
les accords avec des établissements financiers, à travers le service de microcrédit, rendent l’acquisition de ces technologies plus accessible.
En termes des perspectives pour la suite, il faudra poursuivre les contacts avec les hôtels qui ont montré un intérêt pour l’acquisition des équipements solaires. Nous allons aussi approfondir les contacts avec le Parc National Eduardo Avaoa qui a plusieurs sites dans des zones très éloignées. Les gestionnaires du Parc sont très intéressés par la diffusion des technologies solaires auprès des communautés qui vivent dans la réserve. Enfin, le service de microcrédit semble pouvoir faciliter l’acquisition de ces nouveaux équipements, nous allons donc poursuivre nos échanges avec les établissements financiers installés à Uyuni."
mercredi 2 décembre 2015 | Andes > Bolivie | 7 documents
Céline et Maxime ont passé 3 semaines aux côtés de l’association "Inti Illimani", notre partenaire à La Paz. Avec Emma, une jeune agronome bolivienne, ils ont réalisé des enquêtes auprès d’une dizaine de femmes qui ont des cuiseurs solaires afin de voir leur efficacité et leur utilisation. Des témoignages à retrouver dans la vidéo ci-dessous.
Merci à "Devenir Paysan en Voyageant" pour la réalisation de cette vidéo.
En savoir plus sur le projet Devenir Paysan en Voyageant
mercredi 28 octobre 2015 | Andes > Bolivie
Dans cette vidéo (en espagnol, avec sous-titrage en anglais), les bénéficiaires des cuiseurs solaires témoignent avec des mots très forts.
On peut ainsi entendre parler "d"esclavage, référence à la corvée de bois. On comprend aussi que malgré la disponibilité de bois, il est impossible d’utiliser ce combustible en période d’inondations car le bois est trop humide.
Parmi les principaux bénéfices des cuiseurs mentionnés : les économies de temps et d’argent.
Leur souhait ? Que davantage de cuiseurs soient diffusés dans leur communauté.
Vidéo réalisée par le plateforme bolivienne contre le changement climatique
En savoir plus sur cette expérience pilote
Si vous souhaitez soutenir nos actions, rendez-vous ici.
lundi 7 septembre 2015 | Andes > Bolivie
BISS : Bonjour à vous trois. Pour commencer, parlez-nous de votre projet.
PIP : Bonjour ! Le projet Plug In Peru consiste à ajouter un module aux cuiseurs solaires diffusés par BISS dans les Andes. Suites aux missions réalisées depuis plusieurs années dans les villages, les équipes locales ont identifié une certaine demande lié à la recharge d’appareils électroniques, type téléphones portables, radios, piles, etc. Ainsi, on nous a demandé de réfléchir à un système de recharge avec panneaux photovoltaïques intégré aux cuiseurs solaires.
BISS : Et comment est né ce projet ?
PIP : Étant membres d’Ingénieurs Sans Frontières (ISF), nous voulions réaliser une mission solidaire cet été. Nous avons contacté BISS, car nous voulions participer aux actions menées par l’association en Amérique du Sud. Dès la première rencontre en octobre, Vincent DULONG et Agnès RIZZO nous ont proposé ce projet qui nous a plu car conforme aux valeurs véhiculées par ISF.
BISS : Et à quoi ont abouti vos travaux durant l’année ?
PIP : Afin d’aboutir à la meilleure solution alliant coût, facilité d’utilisation et de construction, nous avons rencontré un professionnel du photovoltaïque et des membres de BISS ayant travaillé sur place, et participé à la construction de cuiseurs solaires à Nantes. Nous avons opté pour deux kits tests : le premier comprend simplement un petit panneau pour recharger les appareils "portables", le deuxième avec un plus grand panneau, une batterie et un régulateur de charge pour alimenter de plus gros appareils électriques et pouvant être utilisé la nuit.
Nous sommes donc partis avec l’idée d’installer ces deux kits dans un village, lors d’un stage de construction de cuiseurs solaires, afin d’avoir des informations sur leurs utilisations sur le long terme.
BISS : Et qu’avez-vous pu réaliser une fois sur place ? Cela correspondait-il à vos attentes ?
PIP : Contrairement à ce que peut laisser penser notre nom de projet, nous avons finalement été basés à La Paz, dans les locaux de l’association Inti Illimani (partenaire bolivien de BISS). Cela nous a permis de trouver tous les matériaux nécessaires aux deux kits et de les fabriquer avant le stage organisé dans la communauté de Ch’uxña Quta, à 250 km au nord de La Paz.
Il faut savoir que cette communauté se trouve à plus de 4 500 mètres d’altitude. Là-bas, seule la mousse pousse, les paysages sont désertiques et l’activité principale est l’élevage d’alpagas. Même si les conditions de vie sont difficiles, le potentiel pour développer le photovoltaïque est important grâce au fort taux d’ensoleillement. Idéal pour notre projet !
Une fois arrivés sur place, bien sûr, tout ne s’est pas déroulé comme prévu. Les soudures des panneaux photovoltaïques se sont révélés défectueuses et nous avons dû nous débrouiller avec la solution locale : le chatterton. Finalement, les tests se sont révélés concluants pour les deux kits, mais après avoir discuté avec la population, seul le premier correspondait vraiment à leurs attentes (prix et utilisation), alors que le deuxième restait trop cher. Nous avons été étonnés du nombre de personnes possédant déjà des équipements photovoltaïques : ils ont quasiment tous au moins 2 appareils électroniques (portables, lampes et/ou radios) et le village n’a pas accès à l’électricité, contrairement à beaucoup d’autres. Au terme de la mission, nous avons laissé un premier kit à un villageois, ce qui nous mettra d’avoir des retours grâce aux réunions de suivis réalisés par l’équipe locale dans les mois à venir. Et nous laissons de côté le deuxième kit, trop onéreux pour le moment.
BISS : Et comment les bénéficiaires des cuiseurs ont-ils accueilli votre innovation ?
PIP : Au début, ils regardaient avec curiosité nos travaux et très peu sont venus nous voir pour discuter et nous poser des questions. Une fois que Miguel, un des techniciens d’Inti Illimani, leur a expliqué le but de ces kits, beaucoup nous ont demandé s’ils pouvaient recharger leurs téléphones portables. Nous l’avons fait évidemment avec plaisir. C’est seulement après cette phase que nous avons compris que nos prototypes apportent une valeur ajoutée aux cuiseurs.
BISS : Qu’est-ce que vous retirez de votre projet ?
PIP : Nous sommes tout d’abord contents d’avoir pu finaliser la mise au point du 1er kit. Nos travaux ont bien avancé grâce à la collaboration avec les techniciens d’Inti Illimani, nous apportant leur savoir-faire. Nous avons également appris à nous adapter aux conditions locales (altitude, froid, …), que ce soit pour vivre ou pour travailler.
D’un point de vue plus général, nous avons fait de supers rencontres avec l’équipe de l’association et au sein du village où nous sommes allés. La rencontre interculturelle s’est très bien déroulée, grâce notamment aux formations dispensées par ISF tout au long de l’année. Les gens sont très accueillants et nous avons partagé de bons moments avec eux.
Nous espérons avoir répondu à la demande de BISS et que nos travaux leur permettront de développer un four encore plus proche des attentes des habitants des Andes.
En savoir plus sur l’association Ingénieurs sans frontières
mercredi 26 août 2015 | Andes > Bolivie | 6 documents
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23 948 équipements écologiques diffusés bénéficient à plus de 120 000 personnes.
16 697 équipements écologiques bénéficient à près de 100 000 personnes.
5 238 outils de cuisson écologiques diffusés auprès des familles françaises depuis 2002
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